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Les CRIs : Passoire-numériques et solutions depuis longtemps. Tout va bien.
Les Passoire-numériques sont un souci, surtout pour ceux qui les dirigent et en sont responsables (entreprises, organisations, mairies, associations, particuliers).
Les solutions sont là depuis longtemps. L'hygiène-numérique est là depuis longtemps.
Tout va bien.
La colonisation-2_0 est là aussi depuis longtemps et elle se régale de ces situations de passoire-numériques.
Tout va bien.
Tout va se passer tranquillement.
À peu près tranquillement.
Les chapitres sont :
Ces deux articles sont liés :
Pour un dirigeant, l'antidote-informationnel pour éviter de se retrouver avec une passoire-numériques est très simple :
En matière de numérique, votre efficacité et votre puissance, et celle de votre entreprise dépendent beaucoup de vos choix stratégiques, et des moyens que vous y consacrez.
Dans votre efficacité et votre puissance, vous pouvez inclure leur conséquence : souveraineté, liberté, etc...
Des choix stratégiques.
Des moyens que l'on se donne.
Après, on peut se faire aider, assister, conseiller : alors, c'est la confiance, qui sont la clé.
Une confiance qui n'exclut pas le contrôle, bien au contraire.
La confiance, c'est un espace-temps sans contrôle. (déjà écrit dans les CRIs, ce truc là...)
Pour les TPE, PME, ETI, Associations, Mairies, etc... prenez l'équivalent d'un architecte dans le bâtiment : un architecte pour l'informatique et le numérique.
On voit encore très souvent ces petites organisations qui se lancent dans des projets et réalisations importantes (pour l'entreprise), sans avoir l'équivalent d'un architecte informatique et numérique, pour conseiller et contrôler la bonne execution des travaux réalisés.
C'est le fournisseur qui dit ce qu'il faut au client. (La belle aubaine !... parfois...)
Faire appel à du conseil (d'architecte), spécialisé, intègre, sans conflit d'intérêt avec les fournisseurs.
Et dont la position est clairement du coté de l'entreprise, et de ses intérêts, lors des achats de prestations et matériels, par des fournisseurs tiers.
Pour l'analogie avec le domaine de l'immobilier et du bâtiment, vous avez ce joli concept (que j'avais posé en 2019) :
la maison-de-mes-données
Avec son site Internet dédié : http://www.la-maison-de-mes-donnees.com
Le concept est joli. C'est l'explication et les tenants et aboutissants, qu'il s'agit de bien saisir. Et de s'en saisir pour vous, votre entreprise, votre utilisation du numérique.
Sur le plan pratique vous avez là des guides bien concrets :
Sur le plan pratique pour les grands groupe : idem mais en mode conseil, aide à la décision, objectifs, direction de projet, AMO, assistance au contrôle des réalisations de la MOE, etc...
Je propose ce genre de service : Comme un architecte du bâtiment, mais pour l'informatique et le numérique.
http://www.gers-informatique.com.
J'ai très très peu de demande par des entreprises. Tant pis pour elles.
Ce n'est pas important pour moi, j'ai déjà tellement à faire avec mes 4 activités menées de front.
Étonnamment, au niveau individuel, j'ai plus de personnes qui me sollicitent, sur ces aspects de l'informatique et du numérique.
Par exemple en petite prestation, à l'heure, pour choisir le fournisseur et mettre en place leurs boites d'emails (par fournisseur locaux, sains).
Ou pour décider d'une stratégie pour publication et utilisation saine dans les réseaux sociaux et hypermarchés de consommation de l'information.
On dirait que certaines personnes sont plus conscientes des enjeux, et des moyens qu'il faut se donner, pour bénéficier d'une bonne informatique, à leur service.... que moult entreprises.
Je dirais même plus : plein de solutions sont disponibles depuis beaucoup d'années.
Comme pour l'immobilier : double vitrage, isolation, régulation des systèmes de chauffages, récupération de chaleur, etc.
Les solutions ne manquent pas. Et c'est pas faute d'avoir appelé les propriétaires chez eux, même le samedi, en marketing direct, pour leur vendre des doubles vitrages et des isolations.
Ils peuvent pas dire qu'ils en savaient pas.
Mais revenons à l'informatique et au numérique.
Évidemment, les solutions, les moyens techniques sont là depuis des années.
Ils se sont faits (élaborés) en même temps que l'avancée prodigieuse du domaine depuis les années 1980 (l'Apple II, les débuts du PC d'IBM, le ZX81 etc.).
Ils ont eu le temps de bien s'améliorer, en même temps que les besoins pour faire une informatique et un numérique sain, au service des entreprises, etc..
Les moyens humains aussi : le nombre de personnes compétentes, dans tous ces domaines, est bien suffisant.
Et pourtant, au fil des années, et au fil du déploiement de ces outils et moyens numériques dans les populations (entreprises, administrations, particuliers,...), il y a eu, visiblement, beaucoup de retard accumulé, tant dans la compétence dans les entreprises et organisations, que dans la mise en place des éléments minimum nécessaires.
J'avais commencer à pointer ce constat dès 2015-2016.
Vous trouverez ici un petit historique de l'Hygiene-Numerique sur cette page (site www.hygiene-numerique.org):
Petit historique des constats et de l'élaboration de la notion d'Hygiene-Numerique et d'Hygiene-Informatique.
Tout est à disposition, dans le monde, pour faire et utiliser de l'informatique et du numérique sain, solide, à votre service et celui de votre entreprise et organisation.
Le conseil, le savoir faire, les outils, les composants logiciels, le matériel. Tout. A profusion en qualité comme en quantité.
Et cela fait longtemps : c'est rôdé, fiabilisé, robuste.
Tout va bien.
Certes, les enjeux et l'évolution globale du monde se font avec une colonisation-2_0.
Alors, il n'est pas facile, pour une PME, ou une administration, de prendre en compte les tenants et aboutissants des problèmes auxquelles elles vont être confrontées.
Surtout avec la tendance de fond, au méticuleux, besogneux, le nez dans le guidon ou le smartphone, l'application des règles, pas de vague,...
C'est un peu comme une passoire thermique ou énergétique, et le problème du réchauffement climatique, de l'outrance d'utilisation des carburants fossiles (qu'un jour y en aura pu !), l'outrance d'exploitation des ressources de la planètes, ... et comme vu au chapitre plus haut : "Abus de profiter des avantages, sans s'occuper de l'entretien"
Vous voyez le gouffre entre le nez dans le smartphone, et la vision globale que certains ont et clament, sur les enjeux planétaires et mondiaux...
Alors, forcément il n'est pas facile pour chaque dirigeant de ces passoire-numériques, de décider et faire ce qu'il faut.
Cependant, tout va bien.
Cette tendance de fond, au méticuleux, besogneux, ... et son pendant le trio reglementation-administratif-numerique, avec la main-de-fer-se-referme, contribuent activement au déroulement du changement-de-civilisation-mondiale dans le calme et l'évitement des débordements et des éclats (et éclatements).
Un calme et un évitement des débordements, des éclatements tout à fait honorable, pour ce genre de transformation et changement du monde.
Un point clé, à bien voir aussi : la colonisation-2_0 se régale de cette situation de passoire-numérique dans tant d'entreprises, organisations, administrations, associations...
Elle en profite et en tire avantage.
Voyez les articles de CRIs sur ce sujet. Il y en a plusieurs, pour tous les goûts, ... et pour toutes les facettes de ces asservissements.
La colonisation-2_0, comme toute colonisation, vise le développement de ses emprises et exploitations, dans le calme et tranquillement.
Tout va bien.
Il reste donc la question des moyens.
Oui, rattraper le retard, mettre les choses en ordre, dans ces millions (avec les particuliers) de passoire-numériques, cela va coûter de l'argent.
Un peu. Beaucoup. Passionnément. Ce qu'il faut ! Pour se dégager de ces situations de passoire-numériques.
Contrairement à ce que beaucoup prétendent, il n'y aura pas de ROI.
C'est autant de la dépense que de l'investissement.
Donc ROI global neutre, voire plutôt négatif.
S'il faut compter quelque chose, c'est plutôt cela : ([moins d'emmerdes et de dégâts, potentiellement létaux pour l'entreprise ou l'organisation]).
On réduit l'exposition aux emmerdes, plutôt qu'espérer des gains de ces réparations et améliorations.
Pour la construction et le fonctionnement des entreprises, ou des grosses organisations, mettre des moyens n'est pas quelque chose de nouveaux.
C'est business-as-usual, et tout-est-sous-controle.
Tout va bien.
Vous noterez que tout cela s'inscrit dans les évolutions de modèles du monde, et surtout de modèles de prospérité, qui sont intenses en 2023 et 2024.
2024, essuyer les plâtres !
Parfois de manière un peu Rock 'n' roll, ou rocambolesque, dira-t-on en français, ... certes.
On voit bien les grandes lignes des évolutions en cours. Et comment s'y prendre.
Tout va bien.
Ajout du 31 août 2024.
Un article court :
Article France Info 29/08/2024 : "Lidl veut s'émanciper des géants du numérique en développant ses propres outils de cloud"
https://www.francetvinfo.fr/internet/amazon/lidl-veut-s-emanciper-des-geants-du-numerique-en-developpant-ses-propres-outils-de-cloud_6751366.html
"Le géant allemand du discount a créé une filiale consacrée au cloud, gardant ainsi la maîtrise sur ses propres données et permettant à des entreprises d'utiliser ses services au détriment des géants américains tels que Google, Amazon ou Microsoft."
De Louis Mondot - Radio France
Extrait :
Contrôler des données stratégiques
Mais l'enjeu est aussi d'assurer le contrôle des données.
"Il faut bien avoir conscience qu'aujourd'hui, des données d'entreprises, d'administrations, de santé, ce sont des informations stratégiques sur la société, analyse l'auteure du livre Géopolitique du numérique : l'impérialisme à pas de géants (éditions de L'Atelier).
Donc à partir du moment où vous n'êtes plus le producteur de technologies, si vous n'avez plus la gestion logicielle de ces technologies-là, vous courez le risque que ces données, à un certain moment, soient exploitées par d'autres prestataires.
Et c'est ce qui se passe aujourd'hui avec les grands acteurs du cloud", tels qu'Amazon, Google ou Microsoft.
"Pour la plupart des gens, le cloud, ce sont uniquement des serveurs dans lesquels on stocke des données, ajoute-t-elle.
Mais en fait non, le cloud c'est une énorme couche logicielle et c'est sur ce logiciel qu'on n'a pas du tout la main aujourd'hui [en Europe].
Or c'est celui qui détient le logiciel qui ouvre ou ferme les portes."
"l'auteure du livre Géopolitique du numérique : l'impérialisme à pas de géants (éditions de L'Atelier)" c'est : "Ophélie Coelho"
Elle poste, notamment, sur Mastodon.
Dont ce post, pour indiquer l'article : https://mastodon.social/@opheliecoelho/113057327863135315
Tout est dit, ou presque dans cet extrait, et dans l'article.
Il faut aussi ajouter (constat simple à faire) l'aspect du vol, et ses caractéristiques spécifique dans le domaine de l'information :
Cf : 24 février 2021 : Les CRIs : Au voleur ! au voleur !.... le vol, dans la société dite du partage.....
Et ajouter aussi... ce qui est présenté dans l'article d'illustration suivant.
En gros, résumé à la va vite, là pour le dire rapidos : "en gros, déjà en période tranquille, il y a ces soucis et problèmes, qu'on constate chaque jour... dans la maîtrise de ce numérique qu'on aime tant... alors en période de guerre, qu'est ce que cela pourrait être ?!!!"
En tout cas, c'est réjouissant : il semble que ça commence à se faire, la reprise de contrôle par rapport à des asservissements, et des mouvements de La colonisation-2_0.
En tout cas, le constat de base, c'est que certaines entreprise de grande taille se donne les moyens, et cela est publié pour le grand public.
Deuxième illustration, ... Un article long, dense, super intéressant.
Article de Bert Hubert, posted on May 14 2024 : "Cyber security and society, a pre-war reality check"
https://berthub.eu/articles/posts/cyber-security-pre-war-reality-check/
Extrait : "We are used to thinking about cyber security in terms of can we keep our secrets safe?
Are we safe against hackers or ransomware or other stuff?
But there is also a war dimension to this. And this is what I want to talk about here.".
J'avais pensé à cet article d'illustration, pour cet article :
20 avril 2024 : Les CRIs : CyberMalveillance, CyberSecurité, Dilution-et-refonte-des-frontieres-et-structures-collectives, Colonisation-2_0 - Illustrations - avril 2024
Mais en fait, il est très bien ici...
Les éléments qu'il présente, et les constats qu'il fait sont très intéressants.
En gros, résumé à la va vite, là pour le dire rapidos : "en gros, déjà en période tranquille, il y a ces soucis et problèmes, qu'on constate chaque jour... dans la maîtrise de ce numérique qu'on aime tant... alors en période de guerre, qu'est ce que cela pourrait être ?!!!"
Et cela en dit long, sur les moyens qu'on se donne, ... ou pas. Dans ces domaines.
On peut aussi constater la tendance guerilla-civile-administrative... comme manière de faire la guerre.
Même s'il pointe un autre constat : celui d'une guerre non déclarée.
Cf la mini-série sur ce sujet : "The Undeclared War". https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Undeclared_War
Et plus de détails sur les services d'information comme allo ciné, ou imdb....
(Cette série est citée dans l'interview de Thinkerview "Les Hackers face aux cyberguerres"... voir l'autre article de CRIs...)
Et après les passoire-numériques ? Une fois que le minimum a été remis d'aplomb ?
Le top, c'est l'Hygiène-Numérique.
L'Hygiène-Numérique, c'est le niveau au dessus. C'est le top.
Pour les entreprises qui ont plaisir à utiliser le numérique, ainsi que leur clients, partenaires, fournisseurs... et qui ne se font pas coloniser par la colonisation
Si vous lisez les articles de CRIs depuis un moment, vous savez ce que c'est.
La vraie. Pas ce terme galvaudé qui sert à dire qu'il faut utiliser des mots de passes complexes, et faire des sauvegardes de son ordinateur...
Deux articles pour aller plus loin :
Comme vous pouvez le voir dans cet article : c'est bon de profiter !
Profiter de la liberté, ... profiter de l'informatique, du numérique...
Tout dépends de ce que l'on fait pour, ...